Mme SARR, tout en représentant les excuses de la Présidente de l’AFSTech/Sénégal empêchée, a mis l’accent sur le bien-fondé d’un partenariat utile et durable. Mme la Présidente d’honneur a fait un plaidoyer poignant sur la place des STIM dans le développement humain durable. Les effets négatifs de certaines applications des sciences (bombes atomiques, gaz à effet de serre, etc.) ne doivent pas semer la mort, contribuer au réchauffement du globe encore moins causer des inondations). Au contraire, la science doit contribuer au bien-être de l’humain, à la survie de tous les éléments de l’écosystème naturel.
Mme la Présidente regrette son absence et a adressé un message vocal. Elle a décliné des axes de partenariat possibles entre l’ASES et l’AFSTech/Sénégal.
« Notre secteur d’activité est essentiellement lié à la promotion de la science et à la promotion des femmes scientifiques et des filles dans les filières scientifiques. Nous faisons beaucoup d’activités de sensibilisation qui, à mon avis, ne touchent pas souvent le secteur aérospatial. Dans ce contexte comment identifier des activités de sensibilisation commune pour inciter plus les jeunes à choisir les études relatives à ce domaine, leur faire comprendre les concepts liés au domaine spatial et ce qu’il faut faire comme études.
Par ailleurs, on peut partager les informations sur les filières et ce qu’on fait au niveau. Aussi bien les élèves que les étudiant/es ne sont pas très imprégné/es du sujet. La vulgarisation au niveau du moyen/secondaire et de l’enseignement supérieur pourraient constituer des activités communes de sensibilisation pour accompagner le programme national lié au secteur spatial.
Mme DIENG, la Directrice n’a pas manqué de se réjouir du constant engagement et de la pédagogie dont fait montre Mme SARR. Elle a surtout insisté sur le « donner » et le « recevoir » sans oublier la dynamique des forces vives autour de l’ASES. Il faut fédérer autour de l’ASES un écosystème composé de la communauté éducative, des OSC, des associations diverses qui sont autant d’éléments de la chaîne de valeurs de cette industrie de connaissances pour le développement humain durable.
L’année a été éprouvante car il faut s’installer et délivrer en même temps. La planification 2025 est cruciale.